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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 13:46

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 16:03
Pôle emploi – Seine-Saint-Denis : le ras-le-bol s'exprime 

Les salariés de la plate-forme téléphonique de Pôle emploi à Noisy-le-Grand ont débrayé jeudi 1er août. Ils doivent en effet tenter de répondre aux appels d'un nombre croissant de demandeurs d'emploi avec toujours moins de moyens et des conditions de travail qui ne cessent de se dégrader.

Sur cette plate-forme, qui existe depuis quatre ans, trois cents salariés sont chargés de répondre au téléphone aux demandeurs d'emploi de toute la région parisienne. On leur demande d'assurer en moyenne soixante appels par jour. Or, si beaucoup peuvent être réglés rapidement, de plus en plus de demandes obligent les agents à rentrer dans le détail des dossiers, en particulier pour l'indemnisation. Leurs interventions permettent souvent de débloquer des situations qui ne peuvent pas l'être en agence, faute de personnel, et cela alors que la formation qu'ils reçoivent est très sommaire.

Bien entendu, avec la crise, le nombre d'appels augmente et il est de plus en plus difficile de prendre le temps de les gérer efficacement, d'autant que ces agents sont soumis à un flicage permanent, tournant parfois au harcèlement, de la part de l'encadrement. En effet l'objectif premier de ces as du management est d'atteindre le sacro-saint taux de décrochés (nombre d'appels effectivement répondus).

Les chefs vérifient donc l'heure à laquelle les agents prennent leur premier appel, minutent leurs pauses, font des remarques déplacées à ceux dont ils jugent les pauses-pipi trop fréquentes ou trop longues, y compris aux femmes enceintes, etc. Bienvenue à l'école maternelle !

Et comme si cela ne suffisait pas, la direction va requalifier l'intitulé du poste des nouveaux arrivants en « agents d'accueil », avec un coefficient inférieur qu'ils ne verront pas augmenter de sitôt, puisque sur cette plate-forme il n'y a aucune possibilité de progresser. Cela représente un manque à gagner évident pour les salariés nouvellement embauchés et un mépris pour le travail de tous.

Le ras-le-bol accumulé a donc fini par s'exprimer, le 1er août, par une heure de débrayage qui a rassemblé une cinquantaine de travailleurs sur 150 présents ce jour-là. C'était la première fois qu'un mouvement avait lieu sur la plate-forme et cela a entraîné fureur et panique de la direction. Après avoir menacé plus ou moins directement les travailleurs qui organisaient le débrayage, a direction a fait filtrer les accès au siège, de peur de voir les grévistes le prendre d'assaut.

Du côté des travailleurs, le débrayage aura été l'occasion de discuter entre eux des problèmes, de se donner rendez-vous à la rentrée pour continuer à se faire entendre, et surtout, de relever la tête, sans oublier la petite cerise sur le gâteau : voir les chefs empoigner les téléphones pour tenter de répondre aux demandeurs d'emploi !

Correspondant LO


 

 

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 15:55
Nouvelle hausse du chômage dans le Val d’Oise en juillet
Rédigé le 28/08/2013 - 0 Commentaires

Le chômage continue de progresser dans le Val d’Oise. Fin juillet 2013, 89 920 demandeurs d’emploi étaient inscrits à Pole Emploi, toutes catégories confondues. Cela représente une augmentation de 1,6% par rapport au mois précédent.

Pas de baisse du chômage dans le Val d’Oise pour le mois de juillet. Le nombre de demandeurs d’emploi a progressé de 1,6% en un mois. 89 920 chômeurs étaient inscrits au Pôle emploi fin juillet 2013, soit 1420 de plus que le mois précédent. Cela porte l’augmentation à 8,9% sur un an, soit 7350 chômeurs de plus. Parmi les catégories les plus touchées par cette augmentation : les moins de 25 ans, avec 12 910 demandeurs d’emplois, soit une augmentation de 2,5%.

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 00:00
Monsieur SAPIN : au travail sur la question des droits des chômeurs !
par lesaf on 24/07/2013 8:13 AM

Dans une réponse ministérielle du 4 juin 2013, Monsieur le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social illustre sa profonde méconnaissance des droits des chômeurs.

 

Interrogé sur le sort des indemnités versées par Pôle Emploi à un ancien salarié licencié pour motif économique qui voit ensuite son licenciement annulé aux prud’hommes, Monsieur Michel SAPIN répond qu’il est bien naturel que le chômeur rembourse la différence entre les allocations versées dans le cadre du contrat de sécurisation professionnelle (dispositif applicable en matière de licenciement économique qui prévoit des aides complémentaires) et l’allocation d’aide au retour à l’emploi (dispositif de droit commun) dont il aurait bénéficié en l’absence de licenciement économique.

 

Le SAF entend réagir à cette réponse qui est contraire au droit applicable et ne fait que traduire une ignorance trop répandue à l’égard des droits des chômeurs.

 

Dans un arrêt du 12 juin 2012, la Cour de cassation a déjà eu l’occasion d’indiquer qu’en l’absence de motif économique, c’est à l’employeur [et non au salarié] de rembourser les indemnités de chômage indûment versées.

 

Il ne s’agit là que de l’application de l’article L1235-4 du code du travail qui prévoit qu’en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse ou de licenciement économique nul, le juge ordonne à l’employeur de rembourser à Pôle Emploi les indemnités indûment versées dans la limite de six mois d’indemnités de chômage.

 

Curieusement, Pôle Emploi ne se manifeste quasiment jamais devant les Conseils de prud’hommes pour se prévaloir de ce texte, préférant attendre la fin du procès engagé par le salarié pour recalculer ses droits et réclamer des indus au chômeur parfois arrivé en fin de droits qui aura les plus grandes difficultés à rembourser.

 

Ainsi, plutôt que de laisser se généraliser ces pratiques opaques de recouvrement d’indus à l’encontre des travailleurs privés d’emploi, le SAF invite Pôle Emploi et les conseils de prud’hommes à appliquer l’article L1235-4 du code du travail, susceptible de constituer une source de financement plus utile que jamais à l’accomplissement par Pôle Emploi de ses missions de service public.

 

Le SAF rappelle également qu’il est impératif que le législateur étende les cas d’application de l’article L1235-4 du Code du travail à toutes les situations de ruptures jugées illégales. Il n’en en effet pas tolérable qu’un employeur ne puisse être condamné à rembourser pôle emploi suite à un licenciement jugé nul du fait d’un harcèlement sexuel, moral, ou suite à une discrimination uniquement parce que le texte ne prévoit cette possibilité que pour les licenciements sans cause réelle ni sérieuse ou prononcé en violation des règles sur le plan de sauvegarde de l’emploi.

 

Les avocats du SAF, engagés dans la défense des travailleurs qu’ils aient ou non un emploi, appellent donc Monsieur SAPIN, en tant que ministre de tutelle de Pôle Emploi, à se montrer plus respectueux des droits des chômeurs et à prendre les mesures nécessaires afin que Pôle Emploi puisse assurer son financement en recouvrant les sommes auprès de l’employeur, seul responsable de la perte de l’emploi injustifiée.

 

 Paris, le 5 juillet 2013 

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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 22:26

UNEDIC

Revalorisation des allocations de chômage : quelques centimes…
vendredi 28 juin 2013

Le Conseil d’Administration de l’UNEDIC du 27 juin avait à son ordre du jour la revalorisation des allocations des demandeurs d’emploi.

Compte tenu de l’évolution de l’indice des prix depuis 2008 et de celle du SMIC, la Cgt a demandé une augmentation de 4,2 %, (3,3 % au titre du rattrapage depuis 5 ans et 0,8 % au titre de l’évolution des prix depuis un an).

Les quatre autres organisations syndicales de salariés demandaient une augmentation de 1,2 %.

Les employeurs, emmenés par le MEDEF, n’ont fait q’une seule proposition : 0,6 % sur la seule partie fixe et sur l’allocation minimale, ce qui se traduit par une augmentation de quelques centimes. Le MEDEF a annoncé qu’il s’opposait à tout vote d’une autre proposition que la sienne.

Après les salariés et les retraités, ce sont les chômeurs, du moins la seule moitié d’entre eux qui sont indemnisés, qui voient leurs revenus – une nouvelle fois – attaqués en euros constants.

La Cgt s’insurge contre cette pseudo augmentation et dénonce l’attitude du MEDEF qui fait payer la crise à celles et ceux qui en sont les premières victimes.

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 22:36
Le nombre de chômeurs stagne dans le Val d’Oise au mois de mai
Rédigé le 27/06/2013 - 0 Commentaires

A l’image de l’Hexagone, le nombre de chômeurs stagne dans le Val d’Oise. Le département comptait 88 500 chômeurs au mois de mai, toutes catégories confondues. C’est 180 personnes de moins, comparé au mois précédent.

La courbe du chômage cesse enfin de grimper. Après plusieurs mois de hausse consécutifs, une stagnation s’amorce. Pour le mois de mai, 88 500 chômeurs ont été recensés, toutes catégories confondus (A,B,C). Cela représente une baisse de 0,2%, soit 180 chômeurs de moins.

Toujours plus de chômeurs de plus de 50 ans

Parmi les bonnes nouvelles : la baisse du chômage chez les moins de 25 ans. Avec 12 800 chômeurs recensés, la diminution atteint 2,1%. Le point noir : les plus de 50 ans, seule catégorie à voir son nombre de chômeurs continuer à augmenter. Une augmentation qui atteint 0,7%. Au mois de mai 18 610 demandeurs d’emplois âgés de plus de 50 ans ont été recensés.

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 00:00
Les chiffres parlent inexorablement

 

vendredi 31 mai 2013 

      

La hausse du chômage, due principalement aux fins de CDD et à la chute de l’intérim, est significativement marquée par le sous-emploi des jeunes : 6 millions de jeunes européens sont au chômage dont plus de 700 000 en France, soit plus d’un jeune sur quatre.

 

100 000 emplois ont été détruits en 2012 et la même tendance se poursuit cette année.

Les prévisions économiques annoncent, en outre, une aggravation du chômage jusqu’en 2014.

 

Malheureusement, l’analyse de la cgt sur la situation désastreuse de l’emploi, se vérifie. En effet, les pansements sur la politique de l’emploi n’y remédient nullement :

• 17 347 contrats emplois d’avenir signés sur les 100 000 escomptés en fin d’année 2013,

• les contrats de génération peinent à voir le jour,

• l’effet réel de la loi dite « de sécurisation » de l’emploi ne consiste qu’à fragiliser l’emploi.

 

Sous prétexte, d’améliorer la croissance, la Commission Européenne préconise aujourd’hui une série de mesures prioritaires à prendre par la France, parmi lesquelles la réforme des retraites, la baisse du coût du travail, mais aussi la réforme du système d’indemnisation des chômeurs : alors qu’actuellement, un chômeur sur deux, seulement, est indemnisé, il est « recommandé » de diminuer encore les indemnisations.

 

Or, il est désormais prouvé que l’austérité n’améliore pas la croissance d’un pays. Ceux qui l’ont tenté continuent à s’enfoncer dans le chômage, la misère et le désespoir.

Lors de la Conférence sociale des 20 et 21 juin prochains, la CGT maintiendra ses propositions de mesures visant à la croissance par le développement de l’emploi et l’augmentation des salaires.

 

Dans le cadre de la campagne syndicale européenne,les organisations CFDT, CFTC, CGT, UNSA appellent à participer au rassemblement qu’elles organisent PARIS, le 19 juin,jour de la rencontre de la secrétaire générale de la CES (Confédération Européennes des Syndicats) et des secrétaires généraux et présidents des organisations syndicales françaises avec le Président de la République.

 

Montreuil, le 31 mai 2013

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 00:18

 

AGORA VOX 31 MAI 2013
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/vrais-chiffres-chomage-avril-2013-136589

178 000 emplois (majoritairement précaires) pour 9 500 000 privés d'emploi, et travailleurs précaires par intermitence.

Toujours moins d'1 chomeur sur 2 indémnisé ( encore moins si on compte les invisibles )

2170 chômeurs de + par jour ( y compris dimanches ).

Explosion des radiations administratives ( les punis ) + 27% en 1 mois !! 

Radiations des listes A,B,C,(D,E) de Pôle Emploi par motifs, Avril 2013 :
 
- Défauts d'Actualisation : 183 100, 40,9 % des sorties des listes
- Radiations Administratives (les punis) : 49 800, 11,1 % des sorties

- Autres Cas ( mystérieuse rubrique, les morts, suicidés, emprisonnés ?) : 52 100 11,6 % des sorties.
 
soit 285 000 radiés des listes ( 63,6 % ) pour autres motifs que :
 
- Stages parking : 40 200, 9 % des sorties.

- Arrêts maladie, maternité etc : 34 200, 7,6% des sorties.
 
- Reprises d'emploi déclarées : 88 300, ne représentent que 19,7 % des sorties des listes de pôle emploi, et encore, y compris contrats aidés, etc ..
 
Demandeurs d'emploi par catégories :

A : 3 264 400 + 1,2 % ( + 12,5 % sur 1 an )
B : 632 900 - 1,6 % ( + 9,9 % sur 1 an ) travailleurs précaires - de 78 heures
C : 901 900 + 3,3 ( + 5,7 % sur 1 an ) travailleurs précaires + de 78 heures
D : 264 000 + 2,7 % ( + 10,4 % sur 1 an ) stages parking etc
E : 350 400 + 0% ( - 4,7 % sur 1 an ) contrats aidés etc

TOTAL : 5 413 600 ( données corrigées ), hors DOM TOM, soit + 9,6 % sur 1 an, + 65 100 en 1 mois.
 
TOTAL, dom-tom compris : 5 731 700 ( page 15 du rapport de la DARES, lien en bas de page )

Quelques chiffres qui parlent :
 
Chômage Longue durée ( entre 2 et 3 ans ) : + 14 % sur 1 an
Chômage Très Longue Durée + de 3 ans : + 18,3 % sur 1 an

Chômage des 50 ans et +, + 15,5 % sur 1 an

+ d'1 chomeur inscrit à pôle emploi sur 2 ( 50,3 %) ne perçoit AUCUNE INDEMNITE, ni ARE (allocation retour à l'emploi), ni allocation de solidarité ( ASS, AER ...)

Offres d'emploi dispo, dernier chiffre connu : 178 114

Le + scandaleux, LES DEMANDEURS d'EMPLOI INVISIBLES, complètement en dehors des statistiques
 
Ne sont pas comptés dans ces 5 731 700 demandeurs d'emploi et travailleurs pauvres occasionnels :
 
1 261 800 foyers bénéficiaires du RSA, en effet sur 2 100 000 environ de foyers (chiffre sous estimé datant de l'an passé) , seuls 838 200 sont inscrits à Pôle Emploi, les autres bénéficient d'autres suivis ( associations, collectivités locales etc ) en sachant qu'un foyer bénéficiaire, comporte parfois + d'un demandeur d'emploi en son sein.
 
+ 1 000 000 au bas mot, de bénéficiaires de l'AAH ou d'une pension d'invalidité, ne sont pas inscrits à Pôle emploi
 
+ des centaines de milliers, voire peut-être + d'1 million de SANS-DROITS, principalement :
 
- des jeunes de moins de 25 ans, primo demandeur d'emploi, qui comme vous le savez n'ont même pas droit au RSA. ( quasi unique en Europe )
 
- des sans droits, pour motif, dépassement des plafonds de ressources dans le foyer, exemple, votre conjoint(e) perçoit 650€ d'allocation chomage, ou 743€ d'allocation adulte handicapé, vous n'aurez même pas droit au RSA, car vous dépasserez le plafond couple qui est de 608€ par mois, si vous ètes NON SDF.
 
- on peut parler également de retraités qui cherchent un emploi car leur retraite ne couvre pas les charges fixes pour survivre ( loyer, énergie, assurances, voiture, téléphone, eau, nourriture, santé (lunettes, dentiste ..) incalculable

- des bénéficiaires de pensions de reversions ( veufs, veuves ) de 55 ans et +, qui dépassent les plafonds du RSA, et qui n'ont pas encore l'age pour la retraite ou le minimum vieillesse "ASPA" ( 67 ans) ASPA récupérable sur le patrimoine au décès.

- des bénéficiaires de pensions alimentaires qui dépassent les plafonds du RSA

- on peut également évoquer, des étudiants, boursiers ou non, qui cherchent des petits jobs alimentaires, qui sont donc bien demandeurs d'emploi, en concurrence avec les autres ( même si beaucoup sont aussi exploités en stages sous payés, voir gratuits)
 
- on peut évoquer enfin, des auto-entrepreneurs, qui ne gagnent rien ou presque, et sont demandeurs d'emploi en parallèle.
 
Faites le calcul vous même, on arrive au total, à + de 9 MILLIONS demandeurs d'emploi en France, et travailleurs pauvres occasionnels.
 
Sources : Rapport complet de la DARES de 20 pages (et non pas le simple communiqué de presse envoyé aux médias ) : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/p...  

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 19:00
Le chômage en hausse de 1,1% dans le Val d'Oise
Rédigé le 31/05/2013 - 0 Commentaires

En avril, 88 680 personnes étaient inscrites au Pôle Emploi dans le Val d'Oise en catégories A, B, C, soit une augmentation de +1,1 % par rapport mars. En un an, l'emploi a déjà reculé de 10,4 %.

 Catégorie la plus touchées, les moins de 25 ans avec une hausse globale de 2%. A noter qu'aucune catégorie d'âge ne connait d'embellie, le chômage augmentant de 0,9% chez les 25-49 ans et les plus de 50 ans.  

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:29

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